- EAN13
- 9782226272553
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 02/05/2012
- Collection
- Essai Espaces Libres
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Quel est le point commun entre Cléopâtre, l’empereur romain Hadrien, le
philosophe Plutarque, la Vierge Noire de Notre-Dame du Puy, Cagliostro,
Robespierre, Bonaparte, Goethe, Novalis, Nerval ou encore Nietzsche ?
Une déesse égyptienne aux multiples métamorphoses : Isis.
Depuis l’ancestrale déesse Asèt (son nom égyptien que les Grecs transcrivirent
en Isis), cette fresque historique montre la pérennité d’un mythe qui a hanté
non seulement l’imaginaire antique, des rives du Nil jusqu’aux confins de
l’Empire romain, mais aussi celui des Modernes. C’est ainsi qu’on retrouve la
déesse préférée des pharaons sous les traits à peine masqués de Vierges
romanes, puis dans la franc-maçonnerie et les fêtes de la Révolution, sur la
proue du bateau des armoiries de Paris, et dans les multiples évocations de «
l’Isis voilée » du Romantisme.
Adossé à des références historiques, archéologiques et littéraires solides,
cet ouvrage nous montre à quel point nous sommes encore imprégnés de cette
figure idéale de la Femme salvatrice, née il y a cinq mille ans.
philosophe Plutarque, la Vierge Noire de Notre-Dame du Puy, Cagliostro,
Robespierre, Bonaparte, Goethe, Novalis, Nerval ou encore Nietzsche ?
Une déesse égyptienne aux multiples métamorphoses : Isis.
Depuis l’ancestrale déesse Asèt (son nom égyptien que les Grecs transcrivirent
en Isis), cette fresque historique montre la pérennité d’un mythe qui a hanté
non seulement l’imaginaire antique, des rives du Nil jusqu’aux confins de
l’Empire romain, mais aussi celui des Modernes. C’est ainsi qu’on retrouve la
déesse préférée des pharaons sous les traits à peine masqués de Vierges
romanes, puis dans la franc-maçonnerie et les fêtes de la Révolution, sur la
proue du bateau des armoiries de Paris, et dans les multiples évocations de «
l’Isis voilée » du Romantisme.
Adossé à des références historiques, archéologiques et littéraires solides,
cet ouvrage nous montre à quel point nous sommes encore imprégnés de cette
figure idéale de la Femme salvatrice, née il y a cinq mille ans.
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