- EAN13
- 9782846175814
- Éditeur
- Budo Éditions
- Date de publication
- 02/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Budo Éditions 25,00
Cet ouvrage est un manuel de combat tel qu’il se pratiquait en Europe, et plus
particulièrement en Catalogne, au Moyen Âge. À cette époque, le combattant
fait sa propre expérience de la guerre puis, lorsqu’il obtient une
reconnaissance pour son habileté au combat, enseigne ses acquis. Les guerriers
d’alors n’ont pas d’instruction, celle-ci étant le propre des clercs. Les
techniques se transmettent oralement, c’est pour cela que très peu de manuels
sont parvenus jusqu’à nous. C’est grâce à l’étude de ces rares écrits
(Talhoffer, Flos duellatorum in armis…) que nous avons pu “réinventer” les
méthodes de combat d’antan.
Ce livre présente des techniques efficaces mais aussi des techniques de
spectacle. Elles n’ont pas la prétention de délivrer une vérité sur l’art des
armes mais plutôt de proposer une manière d’aborder l’escrime médiévale. Cette
méthode, empirique, se veut accessible à tous. Vous découvrirez, au fil de ces
pages, les formes de combat à une arme, au bouclier et à l’épée, à deux armes,
à la lance…
Olivier Patrouix-Gracia, passionné par les arts martiaux orientaux, commence
sa pratique martiale en 1989 par le taekwondo (école de maître Kang) et le
viet-vo-dao (than long, école du Dragon vert) tout en s’initiant à la boxe
anglaise, à l’aïkido et au judo. Il abandonne les arts extrême-orientaux pour
l’art martial français et plus particulièrement l’escrime sous la tutelle des
maîtres Bernard Marché et Marie-Chantal Demaille (championne du monde de
fleuret en 1971). À la recherche d’une activité complète, il se spécialise
dans le pentathlon moderne (tir au pistolet, escrime, natation, équitation et
course), sport dans lequel il obtient le brevet d’État en 1999. Il se consacre
alors à l’escrime moderne et, à partir de 2000, étudie la dague et la rapière.
En 2001, il obtient la maîtrise d’armes (brevet d’État d’escrime) et devient
ainsi le premier maître d’armes issu du civil et non escrimeur de compétition.
Un des rares maîtres d’armes à s’intéresser à l’histoire de l’escrime et plus
particulièrement au combat médiéval, il est demandé dans de nombreuses fêtes
médiévales françaises pour superviser les combats de démonstration.
Responsable technique et pédagogique à la Société d’escrime argelèsienne de
1999 à 2006, il est aussi membre de la Commission fleuret du Languedoc-
Roussillon de 2002 à 2006. Enfin, s’inspirant des méthodes de combat des
Almogavares, mercenaires catalans du XIIIe siècle, il fonde l’École catalane
de combat médiéval établie à La Tour de France (Pyrénées-Orientales).
particulièrement en Catalogne, au Moyen Âge. À cette époque, le combattant
fait sa propre expérience de la guerre puis, lorsqu’il obtient une
reconnaissance pour son habileté au combat, enseigne ses acquis. Les guerriers
d’alors n’ont pas d’instruction, celle-ci étant le propre des clercs. Les
techniques se transmettent oralement, c’est pour cela que très peu de manuels
sont parvenus jusqu’à nous. C’est grâce à l’étude de ces rares écrits
(Talhoffer, Flos duellatorum in armis…) que nous avons pu “réinventer” les
méthodes de combat d’antan.
Ce livre présente des techniques efficaces mais aussi des techniques de
spectacle. Elles n’ont pas la prétention de délivrer une vérité sur l’art des
armes mais plutôt de proposer une manière d’aborder l’escrime médiévale. Cette
méthode, empirique, se veut accessible à tous. Vous découvrirez, au fil de ces
pages, les formes de combat à une arme, au bouclier et à l’épée, à deux armes,
à la lance…
Olivier Patrouix-Gracia, passionné par les arts martiaux orientaux, commence
sa pratique martiale en 1989 par le taekwondo (école de maître Kang) et le
viet-vo-dao (than long, école du Dragon vert) tout en s’initiant à la boxe
anglaise, à l’aïkido et au judo. Il abandonne les arts extrême-orientaux pour
l’art martial français et plus particulièrement l’escrime sous la tutelle des
maîtres Bernard Marché et Marie-Chantal Demaille (championne du monde de
fleuret en 1971). À la recherche d’une activité complète, il se spécialise
dans le pentathlon moderne (tir au pistolet, escrime, natation, équitation et
course), sport dans lequel il obtient le brevet d’État en 1999. Il se consacre
alors à l’escrime moderne et, à partir de 2000, étudie la dague et la rapière.
En 2001, il obtient la maîtrise d’armes (brevet d’État d’escrime) et devient
ainsi le premier maître d’armes issu du civil et non escrimeur de compétition.
Un des rares maîtres d’armes à s’intéresser à l’histoire de l’escrime et plus
particulièrement au combat médiéval, il est demandé dans de nombreuses fêtes
médiévales françaises pour superviser les combats de démonstration.
Responsable technique et pédagogique à la Société d’escrime argelèsienne de
1999 à 2006, il est aussi membre de la Commission fleuret du Languedoc-
Roussillon de 2002 à 2006. Enfin, s’inspirant des méthodes de combat des
Almogavares, mercenaires catalans du XIIIe siècle, il fonde l’École catalane
de combat médiéval établie à La Tour de France (Pyrénées-Orientales).
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