- EAN13
- 9782330097349
- ISBN
- 978-2-330-09734-9
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 04/04/2018
- Collection
- LITTERATURE JAP
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 21,6 x 11,7 x 2,2 cm
- Poids
- 282 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Une mère demande à ses enfants d’oublier leur prénom. Ils doivent, dit-elle, ne plus jamais le prononcer ni même y penser, mais en choisir un autre afin d’échapper au danger qui menace leur vie. Dans une villa ayant appartenu à leur père, au milieu d’un vaste jardin cerné de hauts murs, les trois enfants vont passer un temps infini, enfermés, coupés du monde mais heureux. Leurs nouveaux prénoms sont issus d’une encyclopédie des sciences : des noms de pierres choisis au hasard – prénoms sous le signe desquels ils reconstruisent leur identité.
Arbres immenses, ruisseau ténu et chants d’oiseaux : les saisons passent, les vêtements cousus par leur mère sont trop petits, les ailes de coton et de laine qu’elle a fixées dans leur dos ne les gênent pas. Opale, Ambre et Agate grandissent en harmonie mais la dissonance vient de l’extérieur, un colporteur entre dans le jardin.
Un livre majeur, une puissante métaphore de la résilience de l’enfance, cette capacité à préserver l’amour filial en tenant la peur à distance. Ode à l’imaginaire – traversé comme toujours dans l’œuvre d’Ogawa par la présence animale, muséale et musicale –, ce roman se place sous le signe des pierres et tout particulièrement de l’ambre, dans lequel se loge la trace de ce qui n’est plus.
Arbres immenses, ruisseau ténu et chants d’oiseaux : les saisons passent, les vêtements cousus par leur mère sont trop petits, les ailes de coton et de laine qu’elle a fixées dans leur dos ne les gênent pas. Opale, Ambre et Agate grandissent en harmonie mais la dissonance vient de l’extérieur, un colporteur entre dans le jardin.
Un livre majeur, une puissante métaphore de la résilience de l’enfance, cette capacité à préserver l’amour filial en tenant la peur à distance. Ode à l’imaginaire – traversé comme toujours dans l’œuvre d’Ogawa par la présence animale, muséale et musicale –, ce roman se place sous le signe des pierres et tout particulièrement de l’ambre, dans lequel se loge la trace de ce qui n’est plus.
Commentaires des lecteurs
Parce qu'elle vient de perdre une petite fille, une mère emmène ses enfants dans une station thermale et les enferme dans la villa abandonnée de leur père. Elle attribue la mort de sa benjamine à un chien maléfique qui lui ...
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