- EAN13
- 9782705666330
- ISBN
- 978-2-7056-6633-0
- Éditeur
- Hermann
- Date de publication
- 07/07/2006
- Collection
- VISIONS DES SCI
- Séries
- Le point aveugle (1)
- Nombre de pages
- 298
- Dimensions
- 21 x 14,8 x 1,7 cm
- Poids
- 362 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 511.3
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Tome 1, Vers la perfection - Le Point Aveugle
Vol 1. Cours de Logique à Vers la Perfection
De Jean-Yves Girard
Hermann
Visions Des Sci
Offres
Autre version disponible
Autre livre dans la même série
-
Tome 2, Vers l'imperfection, Le Point Aveugle, Vol 2. Cours de Logique Vers l'imperfectionJean-Yves GirardHermann38,00
Ce livre est à la fois un cours de logique (théorie de la démonstration) et d'épistémologie des « fondements ». Il s'adresse aussi bien aux mathématiciens qu'aux informaticiens, aux philosophes qu'aux physiciens et aux linguistes.
Il nous emmène du paradoxe de Gödel (l'incomplétude), des limbes du signifiant, à la logique parfaite, cette logique sans point aveugle ou presque qui réfère à un monde d'action. Nous quittons alors les vérités pérennes pour vivre dans l'instant : en termes linguistiques, nous passons de l'imparfait au parfait. L'infini retrouve ainsi son étymologie (imparfaite) : celle du non-terminé.
Epistémologiquement, le texte rompt avec la sempiternelle polarisation entre réalisme et anti-réalisme, en lui substituant l'opposition entre existence et essence. D'ontologique, la question devient morphologique : la logique est-elle antérieure aux phénomènes qu'elle contrôle ?
Cet ouvrage est le premier d'une publication en deux volumes ce n'est qu'au second tome, avec l'analyse de l'imperfection, que nous arriverons à la pérennité non pérenne ; c'est un peu la réconciliation de l'essence et de l'existence sur d'autres bases que la familière combinatoire logistique : les algèbres d'opérateurs.
Il nous emmène du paradoxe de Gödel (l'incomplétude), des limbes du signifiant, à la logique parfaite, cette logique sans point aveugle ou presque qui réfère à un monde d'action. Nous quittons alors les vérités pérennes pour vivre dans l'instant : en termes linguistiques, nous passons de l'imparfait au parfait. L'infini retrouve ainsi son étymologie (imparfaite) : celle du non-terminé.
Epistémologiquement, le texte rompt avec la sempiternelle polarisation entre réalisme et anti-réalisme, en lui substituant l'opposition entre existence et essence. D'ontologique, la question devient morphologique : la logique est-elle antérieure aux phénomènes qu'elle contrôle ?
Cet ouvrage est le premier d'une publication en deux volumes ce n'est qu'au second tome, avec l'analyse de l'imperfection, que nous arriverons à la pérennité non pérenne ; c'est un peu la réconciliation de l'essence et de l'existence sur d'autres bases que la familière combinatoire logistique : les algèbres d'opérateurs.
S'identifier pour envoyer des commentaires.