- EAN13
- 9782344057964
- ISBN
- 978-2-344-05796-4
- Éditeur
- Glénat Livres
- Date de publication
- 10/05/2023
- Collection
- HISTOIRE (1)
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 32 x 24 x 2 cm
- Poids
- 1194 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La bataille de l'Atlantique - La bataille de l'Atlantique
De Frédéric Guelton
Préface de Amiral Vandier
Glénat Livres
Histoire
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La plus longue des batailles de la Seconde Guerre mondiale
La bataille de l’Atlantique fut, de septembre 1939 à mai 1945, la plus longue des batailles de toute la Seconde Guerre mondiale. Elle fut et demeure aussi la moins connue. Pas de ruines lors des bombardements, pas de tombes sommaires pour les marins, pas de destructions apparentes, pas de stigmates. Seulement l’océan. Un océan Atlantique qui fut l’un des enjeux majeurs de la guerre, pour les deux adversaires. Sa domination était, pour l’Axe comme pour les Alliés, une condition nécessaire à la victoire. Ils en étaient conscients. Dès 1939, Churchill mit tout en œuvre pour maintenir ouvertes toutes les routes maritimes qui permettaient au Royaume-Uni de demeurer dans la guerre et à la population britannique de survivre en étant ravitaillée et simplement nourrie. Et, pendant plus de deux ans, la marine britannique, de guerre comme de commerce, souffrit. Les sous-marins allemands, les fameux U-Boote, mais aussi leurs navires-corsaires coulèrent les navires britanniques et alliés par centaines. Mais, à la différence des Britanniques, la majorité des dirigeants allemands, Hitler en tête, rechignaient à accorder la priorité à la guerre navale. Lorsqu’ils comprirent leur erreur, il était trop tard. Les sous-mariniers allemands, aussi hardis fussent-ils, avaient été dépassés par la puissance des chantiers navals américains et britanniques, par les progrès rapides de leur technologie et la hardiesse, comparable à la leur, des marins alliés. Au milieu de l’année 1943, la pente de la victoire sur mer commença à pencher en faveur des Alliés, grâce aux Liberty ship qui apportaient sur le sol britannique les hommes, les armes et le matériel sans lesquels les débarquements en Afrique du Nord puis en Normandie auraient été impossibles. C’est ainsi que, sur l’un des plus grands champs de bataille de la guerre, l’océan Atlantique, depuis les rives de l’Islande jusqu’aux îles Falklands, fut livrée, pendant presque six ans, l’une des plus grandes batailles de la Deuxième guerre mondiale.
La bataille de l’Atlantique fut, de septembre 1939 à mai 1945, la plus longue des batailles de toute la Seconde Guerre mondiale. Elle fut et demeure aussi la moins connue. Pas de ruines lors des bombardements, pas de tombes sommaires pour les marins, pas de destructions apparentes, pas de stigmates. Seulement l’océan. Un océan Atlantique qui fut l’un des enjeux majeurs de la guerre, pour les deux adversaires. Sa domination était, pour l’Axe comme pour les Alliés, une condition nécessaire à la victoire. Ils en étaient conscients. Dès 1939, Churchill mit tout en œuvre pour maintenir ouvertes toutes les routes maritimes qui permettaient au Royaume-Uni de demeurer dans la guerre et à la population britannique de survivre en étant ravitaillée et simplement nourrie. Et, pendant plus de deux ans, la marine britannique, de guerre comme de commerce, souffrit. Les sous-marins allemands, les fameux U-Boote, mais aussi leurs navires-corsaires coulèrent les navires britanniques et alliés par centaines. Mais, à la différence des Britanniques, la majorité des dirigeants allemands, Hitler en tête, rechignaient à accorder la priorité à la guerre navale. Lorsqu’ils comprirent leur erreur, il était trop tard. Les sous-mariniers allemands, aussi hardis fussent-ils, avaient été dépassés par la puissance des chantiers navals américains et britanniques, par les progrès rapides de leur technologie et la hardiesse, comparable à la leur, des marins alliés. Au milieu de l’année 1943, la pente de la victoire sur mer commença à pencher en faveur des Alliés, grâce aux Liberty ship qui apportaient sur le sol britannique les hommes, les armes et le matériel sans lesquels les débarquements en Afrique du Nord puis en Normandie auraient été impossibles. C’est ainsi que, sur l’un des plus grands champs de bataille de la guerre, l’océan Atlantique, depuis les rives de l’Islande jusqu’aux îles Falklands, fut livrée, pendant presque six ans, l’une des plus grandes batailles de la Deuxième guerre mondiale.
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