- EAN13
- 9782376650904
- ISBN
- 978-2-37665-090-4
- Éditeur
- Contre-Allée
- Date de publication
- 03/11/2023
- Collection
- LA SENTE (1)
- Nombre de pages
- 128
- Dimensions
- 17,5 x 11,5 x 1,1 cm
- Poids
- 116 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Préface de Gisèle Sapiro
« J’ai commencé à fréquenter les bars, donc boire, très tard dans ma vie. Pour une raison très simple, il faut payer après avoir consommé... Aujourd’hui, dès que j’arrive dans une ville, la première chose qui me vient à l’esprit, c’est d’aller faire la tournée des bars. Tous les poèmes du recueil La nuit des terrasses forment ensemble une seule plongée à travers ces espaces réels ou imaginaires, pour combiner non seulement ces instantanés, ces souvenirs disparates, mais aussi inviter l’autre à sortir sa tête de son verre, à la convivialité. Le verbe « boire » ne se conjugue-t-il pas mieux ensemble ? La nuit des terrasses célèbre l’instant, la rencontre des corps et l’amitié. »
Makenzy Orcel
« Caverne est une chanson personnelle. Un chant intime. Caverne est une descente dans mes cavernes, mes zones existentielles les plus reculées, une exploration de l’intime. J’ai vu tant de cadavres dans ma vie, autant que des vivants je crois. Et ceci, dès ma plus petite enfance dans ce quartier violent, à Martissant, où j’ai grandi avec ma mère. Des cadavres d’amis, d’inconnus, de femmes, d’hommes et d’enfants. Des gens que je n’ai pas eu le temps d’aimer, de connaître, avec qui je n’ai pas eu le temps de discuter. Ce poème est une manière de dire que je pense à eux, que je regrette qu’ils soient partis si tôt, avant d’avoir vécu, aimé. S’il faut coucher avec les morts avant de trouver un vers, la poésie sert à ça aussi : à donner vie aux morts. Comme Caverne, Cadavres est un poème intime, un retour sur les lieux de l’enfance, de l’intérieur. »
Makenzy Orcel
« J’ai commencé à fréquenter les bars, donc boire, très tard dans ma vie. Pour une raison très simple, il faut payer après avoir consommé... Aujourd’hui, dès que j’arrive dans une ville, la première chose qui me vient à l’esprit, c’est d’aller faire la tournée des bars. Tous les poèmes du recueil La nuit des terrasses forment ensemble une seule plongée à travers ces espaces réels ou imaginaires, pour combiner non seulement ces instantanés, ces souvenirs disparates, mais aussi inviter l’autre à sortir sa tête de son verre, à la convivialité. Le verbe « boire » ne se conjugue-t-il pas mieux ensemble ? La nuit des terrasses célèbre l’instant, la rencontre des corps et l’amitié. »
Makenzy Orcel
« Caverne est une chanson personnelle. Un chant intime. Caverne est une descente dans mes cavernes, mes zones existentielles les plus reculées, une exploration de l’intime. J’ai vu tant de cadavres dans ma vie, autant que des vivants je crois. Et ceci, dès ma plus petite enfance dans ce quartier violent, à Martissant, où j’ai grandi avec ma mère. Des cadavres d’amis, d’inconnus, de femmes, d’hommes et d’enfants. Des gens que je n’ai pas eu le temps d’aimer, de connaître, avec qui je n’ai pas eu le temps de discuter. Ce poème est une manière de dire que je pense à eux, que je regrette qu’ils soient partis si tôt, avant d’avoir vécu, aimé. S’il faut coucher avec les morts avant de trouver un vers, la poésie sert à ça aussi : à donner vie aux morts. Comme Caverne, Cadavres est un poème intime, un retour sur les lieux de l’enfance, de l’intérieur. »
Makenzy Orcel
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