- EAN13
- 9782266326803
- ISBN
- 978-2-266-32680-3
- Éditeur
- Date de publication
- 28/11/2024
- Collection
- Romans contemporains (PPO 018698)
- Nombre de pages
- 408
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Après Les Filles du chœur et La Belle de Haarlem, Le Pas de nos pères clôt la trilogie du Soleil suivant
Décembre 1713. Alors qu'un hiver doux semble épargner à la France une nouvelle disette, le chirurgien Azlan de Cornelli poursuit sa quête du Codex Quanum, le mystérieux traité médical écrit cinq cents ans plus tôt par Ibn al-Nâsim. Avec l'aide de Sarah Koppio, une jeune Vénitienne du Ghetto, et Henri de Revier, magistrat lorrain précurseur des enquêteurs modernes, ils investissent le cœur de Paris. La devise de Louis XIV, " À nul autre pareil ", surgit dans leurs recherches sous la forme d'un fermoir argenté retrouvé après un vol dans une librairie du Palais-Royal. Ce bijou les entraîne dans les strates concentriques du pouvoir, du Lieutenant général de la police aux gardes du corps du Roi, sur les traces de l'Ordre du Graal et d'une machination qui pourrait menacer la paix en Europe. Et si la seule question était : quel prix personnel est-on prêt à payer pour le bien de l'humanité ?
Décembre 1713. Alors qu'un hiver doux semble épargner à la France une nouvelle disette, le chirurgien Azlan de Cornelli poursuit sa quête du Codex Quanum, le mystérieux traité médical écrit cinq cents ans plus tôt par Ibn al-Nâsim. Avec l'aide de Sarah Koppio, une jeune Vénitienne du Ghetto, et Henri de Revier, magistrat lorrain précurseur des enquêteurs modernes, ils investissent le cœur de Paris. La devise de Louis XIV, " À nul autre pareil ", surgit dans leurs recherches sous la forme d'un fermoir argenté retrouvé après un vol dans une librairie du Palais-Royal. Ce bijou les entraîne dans les strates concentriques du pouvoir, du Lieutenant général de la police aux gardes du corps du Roi, sur les traces de l'Ordre du Graal et d'une machination qui pourrait menacer la paix en Europe. Et si la seule question était : quel prix personnel est-on prêt à payer pour le bien de l'humanité ?
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