- EAN13
- 9782369428817
- ISBN
- 978-2-36942-881-7
- Éditeur
- Nouveau Monde éditions
- Date de publication
- 20/01/2021
- Collection
- Chronos
- Nombre de pages
- 508
- Dimensions
- 17,9 x 10,9 x 3,4 cm
- Poids
- 330 g
- Langue
- français
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Admirés par Zola mais boudés de leur vivant, Edmond et Jules de Goncourt sont aujourd’hui reconnus pour leurs talents de romanciers, et la célèbre Académie créée par Edmond. Mais ce que l’on ignore, c’est que les deux frères étaient aussi des passionnés d’histoire. Dans la continuité de leurs oeuvres naturalistes,
qui mettent souvent en scène la gent féminine, les deux hommes se sont penchés sur la condition des femmes qui les ont précédés.
Dans La Femme au XVIIIe siècle, les Goncourt décortiquent le quotidien des jeunes filles et les conséquences d’une éducation souvent oppressante.
Dans les plus hautes sphères sociales, ils dépeignent une éducation qui empêche toute spontanéité : grâce factice, éducation religieuse et stricte du couvent, mariage sans consultation…
Sont dépeintes aussi les femmes philosophes, celles qui tiennent salon, comme Mme de Tencin, Mme de Lambert ou Mme du Deffand, et les intrigantes prêtes à défaire des ministères…
Au sein de la bourgeoisie, la famille limite le passage au couvent et préfère laisser aux jeunes femmes le libre choix de leur époux. Enfin, pour reprendre la formule des Goncourt, la femme du peuple « n’est femme que par le sexe, est peuple
avant d’être femme ». Pourtant, les archives retrouvées par les deux écrivains montrent que les actrices et les courtisanes étaient traitées en égal dans la haute société.
Sous la plume vive et précise des frère Goncourt, les femmes du siècle des Lumières prennent vie sous nos yeux.
qui mettent souvent en scène la gent féminine, les deux hommes se sont penchés sur la condition des femmes qui les ont précédés.
Dans La Femme au XVIIIe siècle, les Goncourt décortiquent le quotidien des jeunes filles et les conséquences d’une éducation souvent oppressante.
Dans les plus hautes sphères sociales, ils dépeignent une éducation qui empêche toute spontanéité : grâce factice, éducation religieuse et stricte du couvent, mariage sans consultation…
Sont dépeintes aussi les femmes philosophes, celles qui tiennent salon, comme Mme de Tencin, Mme de Lambert ou Mme du Deffand, et les intrigantes prêtes à défaire des ministères…
Au sein de la bourgeoisie, la famille limite le passage au couvent et préfère laisser aux jeunes femmes le libre choix de leur époux. Enfin, pour reprendre la formule des Goncourt, la femme du peuple « n’est femme que par le sexe, est peuple
avant d’être femme ». Pourtant, les archives retrouvées par les deux écrivains montrent que les actrices et les courtisanes étaient traitées en égal dans la haute société.
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