- EAN13
- 9791022611176
- ISBN
- 979-10-226-1117-6
- Éditeur
- Anne-Marie Métailié
- Date de publication
- 04/03/2021
- Collection
- Bibliothèque Hispano-Américaine
- Nombre de pages
- 302
- Dimensions
- 21,6 x 14 x 2,1 cm
- Poids
- 324 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- castillan, espagnol
- Fiches UNIMARC
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Défriche coupe brûle
De Claudia Hernández
Traduit par René Solis
Anne-Marie Métailié
Bibliothèque Hispano-Américaine
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Autre version disponible
Trois générations de femmes, une guérilla populaire, des forêts reculées. Elle a survécu à la guerre, abandonné les armes, mais conservé le vertige, maintenant que sa lutte est de protéger ses filles dans une après-guerre où la paix, la justice et la dignité sont plus que relatives.
Pas de noms propres, on est la mère ou la fille, de la première à la cinquième, ou la mère de la mère, ou la tante, ou celle qui… À travers ces femmes sans nom, avec une écriture brute, précise et élégante, c’est le point de vue de celles qu’on entend rarement, femmes du peuple qui se sont retrouvées propulsées dans l’Histoire et doivent ensuite retrouver la vie « normale » : le patriarcat, le harcèlement, le ménage. Des destins précis, une portée universelle.
Si le monde était bien fait, c’est à ce premier roman puissant que ressemblerait le meilleur de la littérature féminine : l’histoire des femmes, depuis toujours gardiennes et garantes de la famille, de la transmission, depuis toujours flouées et reléguées dans l’obscurité de leurs cuisines, même quand elles ont pris part aux durs combats des hommes.
Défricher, couper, brûler : une manière de survivre quand tout est à reconstruire.
Pas de noms propres, on est la mère ou la fille, de la première à la cinquième, ou la mère de la mère, ou la tante, ou celle qui… À travers ces femmes sans nom, avec une écriture brute, précise et élégante, c’est le point de vue de celles qu’on entend rarement, femmes du peuple qui se sont retrouvées propulsées dans l’Histoire et doivent ensuite retrouver la vie « normale » : le patriarcat, le harcèlement, le ménage. Des destins précis, une portée universelle.
Si le monde était bien fait, c’est à ce premier roman puissant que ressemblerait le meilleur de la littérature féminine : l’histoire des femmes, depuis toujours gardiennes et garantes de la famille, de la transmission, depuis toujours flouées et reléguées dans l’obscurité de leurs cuisines, même quand elles ont pris part aux durs combats des hommes.
Défricher, couper, brûler : une manière de survivre quand tout est à reconstruire.
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