- EAN13
- 9782842461072
- ISBN
- 978-2-84246-107-2
- Éditeur
- Bibliothèque publique d'informations du Centre Pompidou
- Date de publication
- 11/12/2007
- Collection
- EN ACTES (6)
- Séries
- D'encre et d'exil (6)
- Nombre de pages
- 188
- Dimensions
- 22 x 16 cm
- Poids
- 285 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 800
- Fiches UNIMARC
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6 - D'encre et d'exil 6 Le Liban, entre rêve et cauchemar (arrêt de commercialisation)
Sixièmes rencontres internationales des écritures de l'exil
Évelyne Accad, Hoda Barakat, Najwa Barakat, Rita Bassil El Ramy, Gabriel Boustani, Nabil El Azan, Rachid El-Daïf, Tamirace Fakhoury, Joana Hadjithomas, Khalil Joreige, Yasmine Khlat, Elias Khoury, Gérard D Khoury, Vénus Khoury-Ghata, Issa Makhlouf, Waj...
Bibliothèque publique d'informations du Centre Pompidou
En Actes
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Liban, pays du cèdre.
Liban, en arabe Loubnan, issu d'un mot araméen, signifie « la montagne blanche ». Les premières écritures y sont nées, à Byblos.
Dix-sept communautés religieuses y cohabitent; l'arabe le français, l'anglais s'y parlent sans complexe.
Le Liban, c'est cette richesse culturelle, revendiquée et nourrie chaque jour de cette multiplicité.
Comme le dit Alexandre Najjar, écrivain libanais: « J'appartiens à un pays plusieurs fois mort. » Car le Liban, c'est aussi une terre de guerres et de conflits, prisonnière maintes fois puis libérée, marquée par quinze années de guerre civile et encore, en 2006, ravagée par les bombes.
Si le Liban compte aujourd'hui plus de quatre millions d'habitants, les Libanais sont trois fois plus nombreux à vivre en dehors de leur pays.
Exils, départs volontaires, face à l'extrême complexité et violence de leurs histoires collectives et personnelles, beaucoup d'artistes et d'écrivains sont partis.
De ces exils, beaucoup d'écrits sont nés qui ont pu être découverts lors de ces rencontres où une vingtaine d'écrivains ont témoigné de la douleur et de la richesse d'être libanais aujourd'hui.
Le cèdre est toujours debout aujourd'hui, les écrivains ne cesseront pas d'écrire et leur plume sera toujours symbole d'espoir. (Florence Verdeille-Osowski.)
Liban, en arabe Loubnan, issu d'un mot araméen, signifie « la montagne blanche ». Les premières écritures y sont nées, à Byblos.
Dix-sept communautés religieuses y cohabitent; l'arabe le français, l'anglais s'y parlent sans complexe.
Le Liban, c'est cette richesse culturelle, revendiquée et nourrie chaque jour de cette multiplicité.
Comme le dit Alexandre Najjar, écrivain libanais: « J'appartiens à un pays plusieurs fois mort. » Car le Liban, c'est aussi une terre de guerres et de conflits, prisonnière maintes fois puis libérée, marquée par quinze années de guerre civile et encore, en 2006, ravagée par les bombes.
Si le Liban compte aujourd'hui plus de quatre millions d'habitants, les Libanais sont trois fois plus nombreux à vivre en dehors de leur pays.
Exils, départs volontaires, face à l'extrême complexité et violence de leurs histoires collectives et personnelles, beaucoup d'artistes et d'écrivains sont partis.
De ces exils, beaucoup d'écrits sont nés qui ont pu être découverts lors de ces rencontres où une vingtaine d'écrivains ont témoigné de la douleur et de la richesse d'être libanais aujourd'hui.
Le cèdre est toujours debout aujourd'hui, les écrivains ne cesseront pas d'écrire et leur plume sera toujours symbole d'espoir. (Florence Verdeille-Osowski.)
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