La Grande Ourse *.

Conseillé par (Libraire)
30 juin 2016

Baroque

Pour celles et ceux qui auraient échappé à ce succès planétaire! … ou qui voudraient se replonger dans l’épopée de ce village imaginaire - Macondo, quelque part en Amérique du sud. José Arcadio Buendia, le fondateur du village, et sa femme Ursula, donnent naissance à une descendance riche en héros, en saint(e)s, en dictateurs, en fous, en rêveurs… Garcia Marquez les regarde tous avec la même affection. On se laisse entraîner dans cette fantaisie permanente mêlée d’Histoire, où rêve et réalité sont les deux faces d’une même médaille. Impressionnant.

Conseillé par (Libraire)
30 juin 2016

Poésie

Le conseil de Frédéric : Après Yellow birds, un roman largement inspiré de son expérience de soldat en Irak et qui a connu un grand succès, Kevin Powers aborde à nouveau ce moment de sa vie, mais en poésie. Des textes forts, jamais pathétiques, où l’on vit de l’intérieur l’attente, le guet, les moments de violence. Mais aussi le retour au pays, à la vie civile, la mémoire familiale, la contemplation de la nature. Un poète-romancier à suivre.

Conseillé par (Libraire)
2 juin 2016

Douceur des rires et des larmes.

Par Anne-Marie : Des nonagénaires échappent à la maison de retraite pour se cacher au fond des forêts de l'Ontario. Ils fuient un passé de cendres et un avenir en forme de boîte d'hôpital pour vivre une 2e ou 3e vie, la liberté, et peut-être plus. Odeurs de sous-bois et de peaux de bêtes. Douceur des rires et des larmes.

Conseillé par (Libraire)
2 juin 2016

Récits poétiques, étranges, cruels parfois

A lire ou à relire ! Par Frédéric : Ici, ce ne sont pas les méchants extraterrestres qui débarquent, mais des Martiens qui reçoivent bien malgré eux la visite de Terriens. Ces récits poétiques, étranges, cruels parfois, mettent en scène avec humour la naïveté et l'assurance de ces explorateurs américains. L'écriture magnifique rend très présent ce monde lointain et ces Martiens si proches de nous...

Conseillé par (Libraire)
2 juin 2016

Sobre et bouleversant.

Mingarelli est un auteur pudique qui nous parle, souvent, d'hommes seuls. Il nous parle en fait de nous, et son écriture sobre va à l'essentiel. Dans ce roman, à travers l'histoire de Stepan, il évoque la complexité du conflit israélo-palestinien. C'est bouleversant.